mardi 13 novembre 2012

Novembre 2012 : actualités et préparation du 113ème Congrès du Parti Radical du 8 décembre 2012

L'UDI a désormais 14044 adhérants directs (dont 5.398 adhésions fermes au 18/11/2012 puis 8646 depuis cette date via une inscritption en ligne et près de 50000 militants de partis fondateurs (Parti Radical, Nouveau Centre, Gauche Moderne, Alliance Centriste, CNIP, Territoire en Mouvement et Fédération Europénne Démocrate) soit près de 64 000 membres. L'UDI est désormais le parti le plus populaire de l'opposition avec 45% selon le sondage (BVA pour Itele) devant UMP 36%, Modem 35% et le FN 21%.








Amis radicaux et centristes pensez à renouveler vos adhésions ou tout simplement adhérer au parti radical. En adhérant au Parti Radical http://www.partiradical.net/adherez-au-parti-radical , vous adhérez automatiquement à l'UDI : http://www.parti-udi.fr/jadhere-en-1-clic.html . Rejoignez le centre et parti de Jean Louis Borloo ! Adhérer au Parti Radical, c’est marquer sa volonté de promouvoir, partout et toujours, les valeurs de Liberté, d’Egalité et de Fraternité propres à notre République. C’est aussi prendre part à une histoire exceptionnelle de conquêtes sociales et de combats pour l’émancipation de tous, notamment par l’éducation et la culture. C’est enfin contribuer, de manière efficace, à améliorer la vie de nos compatriotes. Le Parti Radical a été de tous les grands rendez-vous de l’histoire de France. Aujourd’hui, il est plus que jamais d’actualité car le radicalisme c’est avant tout décrypter et gérer les grandes mutations qui sont devant nous, tant économiques,qu’ écologiques ou sociétales.

Adressse e-mail secrétariat du Parti Radical d'Eure et Loir : udiradical@yahoo.fr


Nous vous invitons nos militants et nos adhérants du Parti Radical et l'UDI à la Mutualité le samedi 24 novembre 2012 à partir de 14H30, en présence de notre président Jean-Louis Borloo et pour notre réunion annuelle :
 

113e Congrès du PARTI RADICAL
Samedi 8 décembre 2012
Tapis Rouge
67 rue du Faubourg Saint-Martin
Paris 13ème


 

9h : Accueil du Comité exécutif (huis clos)
9h30 : Accueil des participants
10h30 : Ouverture du 113ème Congrès
Rapport de la Commission de vérification des pouvoirs
Proclamation solennelle du résultat de l’élection à la Présidence du Parti Radical
Rapport d’activités par le Secrétaire général
Rapport du Trésorier
Rapport des commissions thématiques
12h30 : Déjeuner
14h30 : Débat de politique générale
17h : Intervention de Jean-Louis BORLOO
17h30 : Fin du Congrès

Veuillez trouver ci-dessous les divers documents relatifs à cette journée :
 

Dans la perspective du Congrès de renouvellement de nos instances le 8 décembre prochain à Paris, le Parti Radical va procéder à l’élection de son Président au suffrage universel direct de ses adhérents.

L’élection se déroulera par Internet uniquement, du lundi 19 novembre à 10h au dimanche 25 novembre à 18h.

Vous pourrez voter à partir de n’importe quel ordinateur connecté à Internet, en vous rendant sur le site Internet www.partiradical.net, ou en vous connectant directement à l’adresse du site de vote https://vote33.neovote.com.

Dans ce cadre, vous trouverez ci-dessous vos codes de vote, strictement personnels et confidentiels :

- Identifiant : ******
- Mot de passe : ****

Nous vous remercions de conserver ces codes, qui vous seront nécessaires pour accéder au site de vote et pour voter. Les étapes à suivre pour voter sont décrites via le lien suivant : mode d’emploi du vote.

Pour toute difficulté de connexion ou en cas de perte de votre identifiant ou de votre mot de passe, nous vous invitons à contacter la permanence téléphonique de la Place de Valois au 01 42 61 02 02.

L’élection du Président du Parti est un moment fort de démocratie interne. Aussi, il est important que chacune et chacun y prenne part et n’oublie pas de voter et de faire voter.

En vous remerciant par avance de votre participation à ce scrutin, je vous transmets, Chère Amie, Cher Ami, mes amitiés radicales.

Xavier DE ROUX
Président de la Commission Permanente de Contrôle
de l’élection du Président






Communiqués de presse :

PARIS, 11 déc 2012 (AFP) Jean-Louis Borloo dénonce l'absence de cap du gouvernement et l'appelle à se ressaisir. Le président de l'UDI Jean-Louis Borloo a dénoncé mardi l'absence "de cap" et "de cohérence" du gouvernement, notamment en matière d'emploi, et appelé l'exécutif "à se ressaisir".

"J'ai rarement eu à ce point le sentiment d'une absence de cap gouvernemental et d'incompréhension devant les mesures annoncées", a expliqué devant la presse l'ancien ministre de l’Écologie.

Pour le leader radical, l'exécutif fait fausse route en matière d'emploi. "Le sujet principal aujourd'hui c'est le bâtiment et le gouvernement prend toutes les mesures pour aggraver la situation dans ce secteur", a-t-il jugé.
...

"100% d'augmentation de la TVA sur le bâtiment en un an et demi, quasi-fin des éco-prêts à taux 0, du crédit d'impôt développement durable, aucune mesure de relance sur le privé et le logement social, pire, un désengagement de l’État et des partenaires sociaux sur le logement social en transférant à des communes qui n'ont pas les outils une responsabilité qui n'est pas la leur", a énuméré le député du Nord.

"Cet après-midi, il y a le vote sur la TVA, je demande solennellement de ne pas passer à 10% dans le secteur du bâtiment, c'est une pure folie", a-t-il mis en garde

"Le deuxième secteur touché est celui du service à la personne. On massacre ce secteur, premier créateur d'emploi en France dont les avantages fiscaux ne bénéficient pas à quelques grandes familles mais qui représente un modèle économique populaire pour tous les foyers", a-t-il poursuivi.

"Et puis, j'ai l'impression qu'il n'y a pas de chef du gouvernement. Dans l'affaire de Florange, on ne me fera pas croire qu'un gouvernement de la République envoie un ministre (Arnaud Montebourg, ndlr) faire du chantage. C'est stupéfiant".

"Et quand un autre ministre (Manuel Valls, ndlr) écrit sur du papier à en-tête à la justice (à propos du livre "La Frondeuse", ndlr) est-ce-que le chef du gouvernement a donné son autorisation?", a-t-il demandé.

"On a le sentiment que chacun gère son univers, qu'il n'y a pas de cohérence générale. J'appelle donc solennellement le gouvernement à se ressaisir, à faire un séminaire de réflexion sur les six ou sept grands sujets et sur l'organisation du pôle gouvernemental. Les gens sont inquiets, le pays est inquiet et n'a pas le sentiment d'être réellement gouverné", a-t-il affirmé.
 

PARIS, 1 dec 2012 (AFP) - Florange / Arcelor Mittal - Jean-Louis Borloo, Président de l'UDI et du Parti Radical "Je demande un grand débat à raisonnance européenne sur l'ensemble de la filièe sidérurgique française, son niveau de production, sa stratégie, son niveau de qualification, ses partenariats ainsi qu'une analyse des nouvelles technologies, notamment Ulcos et l'accompagnement des financements français et européens", écrit-il dans un communiqué. "La filière sidérurgique est vitale pour notre pays car l'acier fait partie des bases de toute stratégie industrielle", note l'ancien ministre. Il regrette "que le gouvernement n'en prenne pas la mesure et n'ait pas envisagé d'alliances fortes notamment avec des opérateurs français, voire espagnols, luxembourgeois et polonais afin de trouver une solution industrielle globale et de long terme". Selon Jean-Louis Borloo, "il est encore temps. Ce débat est urgent".


PARIS, 27 nov 2012 (AFP) - Le président de l'UDI, Jean-Louis Borloo, a appelé mardi le gouvernement à "mettre en place des mesures fortes" après l'annonce d'une nouvelle hausse des chiffres du chômage en octobre.
"Au moment de la publication des chiffres du chômage pour le mois d'octobre, qui montrent une nouvelle envolée avec une augmentation de 45.500 chômeurs, le gouvernement ne peut plus se contenter de commenter la crise de l'emploi mais doit mettre en place des mesures fortes", écrit l'ancien ministre de l'Ecologie, dans un communiqué.
"Depuis six mois, le groupe UDI demande un grand plan de relance économique", rappelle le leader radical, en demandant au "gouvernement de changer de cap".
"Il doit arrêter de ne plus soutenir les services à la personne, de prendre des décisions contraires au secteur du bâtiment (TVA à 10 %), de renoncer aux programmes d'économie d'énergie, d'énergie renouvelable et d'infrastructures", autant de "mesures qui conduisent directement à la récession", dit-il. Après l'erreur funeste d'avoir augmenté les charges de 30 milliards d'euros, le gouvernement doit appliquer dès maintenant la baisse des charges de 30 milliards d'euros prévue par le rapport Gallois et donc renoncer à ce vague crédit d'impôt, usine à gaz, prévu pour 2014", exige encore le député du Nord, pour qui "dans deux ans, il sera trop tard".


PARIS, 26 nov 2012 (AFP) - UMP et Arcelor Mittal - Le président de l'UDI Jean-Louis Borloo a affirmé lundi sur France Inter que sa formation politique avait vocation à "incarner le leadership" de l'opposition, à l'heure où l'UMP est "très affaiblie"."Je constate l'affaiblissement de l'UMP, donc c'est mon devoir aujourd'hui, face à un gouvernement qui ne prend pas les décisions qui s'imposent, d'incarner le leadership de cette opposition, forte et sereine. Vous avez le principe, clairement affirmé pour nous depuis le début, d'une coalition avec l'UMP. Nous souhaitons que nos idées, notre vision l'emportent, et qu'on prenne le leadership intellectuel et politique d'une telle coalition (...). Nous ne souhaitons pas être le condiment mais le plat principal", a ajouté le député du Nord.
Jean-Louis Borloo, le président de l'UDI a déclaré qu'"un contrôle public provisoire ne lui paraissait pas inadapté (...) à condition de reprendre tout le site de Florange et pas seulement la partie en difficulté". S'il refuse la "nationalisation sanction", il considère que la nationalisation est envisageable comme "outil provisoire pour rebâtir une filière comme cela a été le cas aux Etats-Unis ou comme l'a fait Raymopnd Barre en 1978."


24/11/2012 - Accueil des nouveaux militants UDI - PARIS (AFP) :
Jean-Louis Borloo, président de l'Union des démocrates et Indépendants (UDI) s'est félicité samedi du "sang neuf" apporté à son parti par les nouveaux adhérents de tous bords, y compris l'UMP, qui donne, selon lui, "son sens" à sa démarche politique.
L'ancien ministre de l'Ecologie s'est exprimé devant près de 400 nouveaux adhérents réunis à la Mutualité, à Paris, là même où le parti centriste a été officiellement lancé le 21 octobre dernier.
Selon le député Jean-Christophe Lagarde, le parti centriste compterait aujourd'hui 64.000 adhérents. 50.000 provenant des six formations fondatrices auxquels s'ajouteraient 14.000 adhérents depuis le lancement du parti, dont 6.000 depuis dimanche et le début de la crise à l'UMP.
"Il y a un mois dans cette salle même, les 300 premiers fondateurs signaient la création de l'UDI", a rappelé Jean-Louis Borloo en évoquant l'émotion suscitée par la présence de Simone Veil.
"Nous savions à ce moment là que le rassemblement des familles centristes dispersées ne serait qu'une étape. Pour avoir une recomposition politique, il faut un vrai renouvellement et au fond, la réussite, c'est aujourd'hui qu'on la constate", a-t-il lancé à l'adresse des nouveaux adhérents.
"C'est vous qui donnez un sens à l'UDI et êtes les ambassadeurs des dizaines de milliers qui souhaitent s'engager", a-t-il expliqué.
"Nous avions besoin de sang neuf, nous avions besoin d'oxygène et je suis ému et touché par votre acte", a-t-il lancé avant de souhaiter la bienvenue à toutes les catégories d'adhérents, une manière de montrer la diversité des recrutements.
"Nous souhaitons la bienvenue à ceux qui n'ont jamais milité, à ceux qui viennent de familles différentes. Vous étiez orphelins, cette période s'achève, la grande famille est reconstituée", a-t-il lancé.Nous souhaitons aussi la bienvenue à ceux qui ont une sensibilité de centre-gauche qui sont déjà déçus et voient qu'il n'y a pas de cap", a-t-il ajouté. Nous souhaitons la bienvenue à ceux qui savent que le développement sera évidemment durable et ne croient pas dans l'écologie politique", a-t-il martelé "Et, sans prosélytisme, nous souhaitons enfin la bienvenue à ceux qui considèrent, comme nous, que le seul parti décomplexé n'est pas la seule réponse", a-t-il ajouté à l'adresse des nouveaux adhérents provenant de l'UMP.
"La France est aujourd'hui coupée entre ceux qui ont peur de l'avenir et souhaitent rétablir des lignes Maginot et ceux qui, au contraire, refusent de nier la modernité des temps. Et cette ligne de fracture partage la majorité actuelle comme l'opposition", a expliqué l'ancien ministre.
Evoquant la tentation de certains à droite d'aller vers le FN, le leader radical a constaté une vraie fracture. Elle "fait de nous un bâtiment d'accueil si cette fracture devait empirer", a-t-il lancé après avoir dénoncé l'erreur, à l'UMP, de "ceux qui ont vendu l'idée que tout se gagnerait dorénavant à la droite de la droite républicaine. Tout ce qui se passe aujourd'hui est la suite logique de cette erreur d'interprétation", a-t-il jugé


22/11/2012 -La "véritable force d'alternance, c'est l'UDI", a déclaré jeudi matin sur France Info le président de l'UDI (centre) Jean-Louis Borloo, assurant avoir enregistré "plus de 1.200 adhésions cette nuit. La véritable force d'alternance, la véritable opposition, sereine, tranquille, tolérante et ouverte, c'est l'UDI", a souligné Jean-Louis Borloo.
Evoquant les tumultes actuels à l'UMP, déchirée entre Jean-François Copé et François Fillon autour de la présidence du mouvement, Jean-Louis Borloo a mis en regard la situation de l'UDI: "nous sommes d'accord idéologiquement. Nous n'avons pas peur de l'avenir, pas peur des autres. Nous sommes très empreints de respect mutuel, de tolérance. Nous pensons que toutes les diversités sont des richesses de notre pays. Si on a créé l'UDI, c'est qu'on pensait que l'idée de ce parti unique, unitaire (l'UMP), qui, de surcroît, allait de plus en plus à droite (...) ne représentait pas une véritable alternance", a-t-il poursuivi. "Ce qui se passe à l'UMP me désole, je ne m'en réjouis pas" mais c'était "prévisible", a assuré Jean-Louis Borloo.
Le président de l'UDI a affirmé d'autre part que plus de 1.200 adhésions avaient été enregistrées "cette nuit, par internet". Jean-Louis Borloo a souligné la différence entre sa formation et l'UDF.
"Nous sommes un parti de plein exercice et non pas une confédération", a-t-il dit

 


21/11/2012 - La reconnaissance du vote blanc aux élections, objet d'une proposition de loi de l'UDI de Jean-Louis Borloo, sera discutée jeudi à l'Assemblée nationale, au côté d'autres textes centristes sur la lutte contre le surendettement, les déserts médicaux ou la maîtrise des prix du gaz. Ces propositions de loi seront débattues dans le cadre d'une "niche parlementaire" réservée aux groupes minoritaires ou de l'opposition.
Selon la proposition, le Code électoral devrait comporter un ajout prévoyant notamment que "les bulletins blancs sont décomptés séparément et annexés au procès-verbal" et qu'il "entrent en compte pour la détermination des suffrages exprimés".
En pourcentage, les bulletins blancs ou nuls, actuellement comptabilisés ensemble, ont représentés 5,8% des quelque 37 millions de suffrages du 6 mai 2012, pour le second tour de l'élection présidentielle. Si le vote des citoyens déposant dans l'urne une enveloppe vide ou contenant un papier blanc, au lieu d'être assimilé à une abstention ou à un vote nul, était pris en compte, les électeurs seraient "moins tentés de se résigner à l'abstention ou à un vote extrême dont la montée interpelle tous les démocrates", selon l'auteur de ce texte, l'ex-ministre François Sauvadet, vice-président de l'UDI (Union des démocrates et indépendants) à l'Assemblée. "La reconnaissance du vote blanc, attendue depuis longtemps, serait une grande avancée. Elle est soutenue par 69% des Français", a déclaré mardi Jean-Louis Borloo, ancien ministre redevenu député et président de l'UDI.
Egalement au menu, une proposition de loi de M. Borloo visant à déconnecter le prix du gaz de celui du pétrole pour la fixation des tarifs réglementés du gaz naturel, car l'"indexation, qui n'est plus justifiée, pénalise le pouvoir d'achat".
Le porte-parole des députés centristes Jean-Christophe Lagarde présentera sa proposition de loi, déjà rejetée quatre fois depuis 2002, pour prévenir le surendettement via la création d'un répertoire national des crédits aux particuliers.
Mi-septembre, il avait estimé "tous les obstacles" à une adoption "levés" depuis que François Hollande "s'est engagé" sur ce sujet pendant la campagne présidentielle.
Le groupe UDI défendra aussi à nouveau une proposition de loi pour garantir un accès aux soins égal sur l'ensemble du territoire, en recommandant notamment 12 mois de stage obligatoire dans une maison de santé ou un hôpital en zone déficitaire pour les étudiants en troisième année d'internat. Le dernier texte, adopté en première lecture au Sénat en février, vise à assurer "une véritable couverture numérique" (téléphonie mobile, haut et très haut débit) des territoires, notamment ruraux.


13/11/2012 - Conférence de Presse du Président Hollande - Jean-Louis Borloo, président de l'UDI (centre), s'est déclaré "estomaqué" que François Hollande ait annoncé durant sa conférence de presse que "le chômage va encore augmenter pendant un an". Le président de la République a déclaré qu'il "repren(ait) l'objectif" visant à inverser la courbe du chômage d'ici à fin 2013, tout en prévenant que le nombre de demandeurs d'emploi allait continuer à croître de façon "continue pendant un an".

"Je l'ai trouvé assez habile, c'est une opération de séduction pour la presse", a déclaré dans les couloirs de l'Assemblée nationale le député du Nord. "Il a lu que la presse disait qu'il n'avait pas le costume, il a voulu montrer qu'il avait le costume". "Mais ce qui m'a le plus frappé, et c'est une première, c'est qu'un président de la République, qui depuis six mois voit le chômage augmenter, dit aux Français: Je vous annonce que ça va encore augmenter pendant un an. Je vous avoue que j'en suis estomaqué", a poursuivi l'ancien ministre de l'Emploi, qui a dénoncé "cette acceptation totale de la dégradation sur le front de l'emploi".

"40 minutes pour justifier le traité budgétaire européen -il a même ressorti un pacte de croissance qui n'existe pas, ce n'est pas bien pour un président de la République-, le revirement sur la TVA, l'abandon du référendum sur le vote des étrangers, la BPI (Banque publique d'investissement) dont je vous dis qu'elle ne verra pas le jour au 1er janvier", a dit M. Borloo au sujet de l'intervention liminaire du chef de l'Etat.


09/11/2012 - Rapport JOSPIN - Jean-Louis Borloo, président du mouvement centriste UDI (Union des démocrates et indépendants), a qualifié vendredi le rapport Jospin de "travail argumenté, sérieux et en profondeur qui permet d'ouvrir un débat serein". Dans un communiqué, l'ancien ministre accueille plutôt favorablement l'introduction d'une dose de 10% de proportionnelle aux élections législatives, qui peut permettre "la nécessaire conjugaison des majorités stables et la représentativité du pluralisme des courants de pensée à l'Assemblée nationale".


07/11/2012 - Elections aux Etats-Unis " Les Américains ont choisi aujourd'hui d'apporter à nouveau leur confiance au Président Obama. Confronté à la très violente et dramatique crise des subprimes de 2008, il a su prendre dans ce contexte très difficile, les mesures appropriées. Il a également à son crédit, le spectaculaire sauvetage de l’industrie automobile américaine et le maintien du taux de chômage de 7,9%. En outre, sa présidence restera marquée par son discours du Caire sur le refus des guerres de civilisations. Prix Nobel de la Paix, c’est un leader mondial incontestable. Je lui ai présenté mes sincères et amicales félicitations et mes voeux de réussite pour son nouveau mandat." déclare Jean-Louis Borloo.


06/11/2012 - Rapport GALLOIS - Le président de l'UDI Jean-Louis Borloo a jugé "complexes" les mesures annoncées mardi par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault pour améliorer la compétitivité des entreprises, et a évoqué "un virage à reculons, pas très assumé" à propos de la TVA. Les annonces du Premier ministre "tournent le dos au rapport Gallois qui préconisait un allégement tout de suite de 30 milliards de cotisations sociales. Ici, il n'y a rien pour fin 2012 et pour 2013 mais un crédit d'impôt pour 2014 d'un montant inconnu, de 5 à 7 milliards, peut-être 8 milliards, financé par de la TVA", a constaté l'ancien ministre de l'Écologie, lors d'un point de presse.

"Cette TVA qui était si critiquée devient une réponse et c'est tant mieux. Mais ce qui est surprenant, c'est que c'est pas la TVA à l'importation, mais celle (la TVA intermédiaire, ndlr) qui touche les artisans notamment du secteur du bâtiment, ce qui est un peu dommage", a-t-il regretté. "Il n'y a pas de visibilité", "pas de stabilité", car "le crédit d'impôt est par nature sujet à toutes les lois de finances", a-t-il également jugé, en regrettant que le gouvernement n'ait pas suivi les recommandations du rapport de Louis Gallois.

"C'est Gallois qui doit être déçu. Il dit : 'Il faut que ce soit simple, clair et massif' et on fait compliqué, pas tout de suite et pas très durable", a résumé Jean-Louis Borloo. Louis Gallois, commissaire à l'investissement, a estimé pour sa part que le gouvernement avait "pris la mesure du problème" de compétitivité en France. Et Jean-Louis Borloo d'insister : "C'était pourtant tellement simple d'alléger les charges jusqu'à 3,5 smic et d'augmenter la TVA au taux général." Interrogé sur les raisons qui ont conduit l'exécutif à ces choix, le député centriste du Nord a estimé que le gouvernement avait cassé "le mythe de son opposition à la TVA, mais que, déjà, casser ce mythe l'avait empêché de prendre vraiment la mesure des mesures". "On a l'impression d'un virage à reculons qui n'est pas très assumé", a-t-il résumé.

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