dimanche 19 janvier 2014

Agenda des réunions du Parti Radical et de l'UDI (janvier - février 2014)

Aux membres du Comité exécutif

Chère Amie, Cher Ami,

Comme convenu le 9 décembre dernier, j’ai le plaisir de vous convier au Comité exécutif élargi du Parti, le Samedi 25 janvier 2014 de 14h15 à 17h Immeuble Chaban Delmas Salle Victor Hugo 101 rue de l’Université 75007 PARIS (prévoir une pièce d’identité) .

L’ordre du jour sera le suivant :
- Règlement Intérieur
- Actualité des Fédérations et préparation des élections 2014
- Point financier
- Modalités de partenariat avec l’UDI
- Débat de politique générale
- Questions diverses

Pour des raisons pratiques d’organisation, je vous remercie de bien vouloir nous faire part de votre présence au Comex, avant le 22 janvier .

Les candidats aux municipales, secrétaires généraux départementaux, trésoriers et cadres des Fédérations, sont également conviés (sous réserve d’une inscription avant le 22 janvier). Seuls les membres du Comité exécutif ont le droit de vote.
En ce début d’année, je vous renouvelle mes meilleurs vœux pour 2014, et vous prie de croire, Chère Amie, Cher Ami, à l’expression de ma considération distinguée.



Comité Exécutif du Parti Radical du samedi 25 janvier 2014 : une année électorale riche avec plus d'une centaine de tête de liste : Strasbourg, Nancy, Bourges, Marseille 15e-16e ... un 114e Congrès en mai 2014 avec un projet européen à adopter pour un parti qui continue sa vie politique en tandem avec l'UDI et l'alternative ... Merci aux 10213 adhérents à jour de cotisation au 31 décembre 2013, un record pour nous depuis 15 ans qui nous donne espoir et font du parti radical, un mouvement politique comparable en terme d'effectifs et d'élus au Modem et le 1er courant politique de l'UDI.

La séance a été présidé par le secrétaire général Laurent Hénart accompagné des présidents d'honneur : Didier Bariani et André Rossinot suite à l'absence de Jean-Louis BORLOO excusé pour maladie. Le président de l'UDI, Jean-Louis Borloo, a été hospitalisé dimanche après-midi à Paris pour une "pneumonie aiguë frontale" qui "devrait le contraindre à quelques semaines d'absence". Il va bien et il pourra reprendre ses activités d'ici trois à quatre semaines.

 
 
Communiqué de Laurent Hénart, secrétaire général du Parti Radical et de l'UDI en réaction aux chiffres du chômage :

« La bataille pour l’emploi est une priorité pour notre pays et s’il y avait un engagement à tenir, c’était bien celui-ci ! »

Comme tous les Français, Laurent Hénart, Secrétaire général du Parti Radical et de l'UDI, constate avec beaucoup de tristesse la nouvelle progression du chômage, qui atteint un taux de 10,5 % en France métropolitaine....

La promesse pourtant maintes fois exprimée par le Président de la République n’a pas été tenue : l’inversion de la courbe ascendante du chômage avant la fin d’année 2013

Or cette bataille pour l’emploi est une priorité pour notre pays et s’il y avait un engagement à tenir, c’était bien celui-ci

Le chômage n’est pourtant pas une fatalité française. En période de crise économique, avec un taux de chômage comparable en 2005, le plan de cohésion sociale de Jean-Louis Borloo avait permis de diminuer le chômage de plus de 10% à plus de 7% en 2 ans.

Au lieu de mener une politique volontariste, le gouvernement a commis trop d’erreurs ces derniers mois : hausse de la TVA et baisse des aides dans le bâtiment, sacrifice du secteur des services à la personne pourtant le plus créateur d’emplois ces dernières années, poids des charges sur les entreprises

Espérons urgemment un sursaut, qui ira bien plus loin que le Pacte de responsabilité engagé par le Président de la République, pour renouer avec la croissance et l’emploi dont notre pays a tant besoin !



Communiqué de Laurent Hénart, secrétaire général du Parti Radical et de l'UDI  : 
Halte à l’effondrement des formations en alternance !

Après la promesse non tenue de l’inversion de la courbe du chômage, une mauvaise nouvelle de plus sur le front de l’emploi…

Par la voie du Ministère du Travail, le Gouvernement a ainsi fait un nouvel aveu d’échec avec le recul, jamais vu, de 8 % des signatures de contrats d'apprentissage et de 5% pour ...les contrats de professionnalisation.

Ce bilan annuel de l’alternance - le plus mauvais depuis 2005 – ne pouvait me laisser indifférent.

En 2004 et 2005, alors que j’étais secrétaire d’Etat à l’insertion professionnelle des jeunes, nous avions en effet fait le choix, avec Jean-Louis Borloo et le Président Jacques Chirac, de réformer et de soutenir, comme jamais auparavant, les formations en alternance en donnant la priorité à l’apprentissage.

Les mesures prises alors ont permis de dépasser dès 2006 le seuil des 400 000 apprentis, avec des pics à 450 000 en 2008 et 435 000 en 2011. De façon générale, entre 2005 et 2007 le Plan de Cohésion Sociale a permis de diminuer le chômage de 10,2% à 7,8% en 2 ans, ce qui reste la meilleure performance sur le marché de l’emploi depuis l’entrée du pays dans un chômage structurel.

Aujourd’hui, alors que la conjoncture économique est plus que jamais difficile, le Gouvernement socialiste s’entête dans des choix qui déstabilisent et menacent la filière d’apprentissage.

Comment expliquer d’abord le coup de rabot de 20% sur les aides à l'embauche d'apprentis, réduites depuis le 1er janvier 2014 ?

Ensuite, je m’interroge sur les raisons de la priorité exclusive donnée sur le terrain aux seuls emplois d'avenir alors que leur volet formation ne comporte aucun diplôme – contrairement à l'apprentissage. Si l’on ajoute le coût des emplois d'avenir, plus d’1,2 milliard d'euros prévus en 2014, on est en droit de s’interroger sur la pertinence de la stratégie de l’Etat et des pouvoirs publics qui doit permettre avant tout aux jeunes français de s’insérer durablement sur le marché de l’emploi.

En 2004 et 2005, nous avons pris des mesures en phase avec la situation sociale du pays et les besoins des acteurs économiques… et nous avons eu des résultats. La courbe du chômage s’est alors inversée, pour de bon, sans effet d’annonces ni promesses intenables.

On ne lutte pas contre le chômage avec des mots. C’est tout le problème de ce Gouvernement. Dépourvu de bon sens et de solutions efficaces dans la bataille pour l’emploi en France, il affaiblit une filière reconnue pour sa capacité à former et à intégrer durablement les jeunes sur le marché du travail, à l’image des succès constatés chez notre voisin et allié allemand.


 
 
Communiqué de Rama YADE, vice-présidente du Parti Radical et de l'UDI en réaction aux évènements récents en Ukraine :
 
 

TOURS, 26 janvier 2014 (AFP) - L'ancienne ministre Rama Yade (UDI) a affirmé dimanche à Tours avoir "honte" que l'Europe "détourne les yeux" de la situation en Ukraine.

"L'Ukraine aujourd'hui demande de l'aide à l'Europe qui, elle, détour...ne les yeux, j'ai honte, sincèrement", a déclaré Rama Yade, lors de la cérémonie des voeux de la députée européenne Sophie Auconie.

"Je ne trouve pas normal que cette Europe qui est celle de la paix, qui a soutenu la chute du communisme dans les années 80/90, voie ce petit pays se soulever, demander le soutien de l'Europe", et que cette dernière "cherche à évaluer de possibles actions, c'est juste honteux", a-t-elle déclaré.

Face à la répression, "l'Europe ne dit rien et je trouve cela dramatique : s'il y a bien un terrain où on attend l'UE, c'est sur ce terrain des valeurs, des droits de l'Homme, de la solidarité européenne", a-t-elle ensuite affirmé à un correspondant de l'AFP.

"Je regrette que François Hollande se soit contenté d'une réaction très tardive", a-t-elle ajouté. "Ca fait des semaines qu'on assiste à cette tragédie et je trouve qu'il n'y a pas une réaction à la hauteur".

Ancienne secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme, ancienne secrétaire d'Etat aux Sports, Rama Yade est vice-présidente de l'UDI."



Communiqué de Rama YADE, vice-présidente du Parti Radical et de l'UDI en réaction aux manifestations de colère en France :


PARIS, 2 février 2014 (AFP) - Rama Yade, vice-présidente de l'UDI, a dénoncé dimanche "un climat de tension" avec l'émergence "de groupuscules qui agissent de manière dangereuse", et demandé "au pouvoir socialiste de remettre de l'ordre dans le pays".

Invitée de "12/13 dimanche" sur France3, l'ex ministre a fait valoir qu'en "renonçant à régler les problèmes", le gouvernement avait "créé, par maladresse ou peut-être par stratégie un climat de tension dans le pays, alors que François Hollande était censé pacifier la France".

"La gauche au gouvernement a renoncé à régler les questions sociales (...) elle instrumentalise les questions sociétales", a-t-elle dit aussi.

Evoquant la manifestation anti-gouvernementale de dimanche dernier, Rama Yade a dénoncé "des groupuscules qui agissent de manière dangereuse et absolument pas républicaine". "Il faut être ferme (...) c'est au ministre de l'Intérieur d'être ferme (...) son rôle n'est pas de commenter mais de réagir à une situation qui est grave".

"Il faut que le pouvoir socialiste, qui avait promis de pacifier la France (...), remette de l'ordre dans le pays. On ne peut pas continuer comme ça", a insisté la responsable UDI.

Interrogée sur l'enseignement à l'école de l'égalité entre les hommes et les femmes, Mme Yade a jugé que "l'école doit s'occuper de l'instruction" et que "l'éducation (était) pour les familles".

 

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