Le maire de Nancy, Laurent Hénart, et l'ancienne ministre Rama Yade se sont déclarés candidats à la présidence du Parti radical pour succéder à Jean-Louis Borloo, qui a renoncé au début d'avril à tous ses mandats et fonctions politiques pour raisons de santé.
Laurent Hénart fut l'un des secrétaires d'Etat de Jean-Louis Borloo quand celui-ci était ministre de la cohésion sociale, sous la présidence de Jacques Chirac. A la fin de mars, il a succédé à la mairie de Nancy à André Rossinot, figure du Parti radical, qui lui a apporté son soutien. Il est actuellement secrétaire général et assure l'intérim à la tête du parti depuis le retrait de M. Borloo.Le Parti radical, qui est le plus vieux parti de France, est l'une des composantes importantes de l'Union des démocrates et indépendants (UDI), créée sous l'impulsion de Jean-Louis Borloo à l'automne 2012, et qui compte aussi, notamment, le Nouveau Centre d'Hervé Morin. Dans sa lettre de candidature, M. Hénart explique que son « premier acte » concernera l'UDI pour « demander une réforme de ses statuts afin de clarifier, à la suite du retrait de Jean-Louis Borloo, ses relations avec le Parti radical, dans les domaines des investitures, de la composition de ses instances et de la répartition du financement public ».
Rama Yade a, de son côté, mis en avant « une candidature de terrain, proche des adhérents, contre une candidature d'appareil ». Elle revendique le soutien de cinquante fédérations sur une centaine. Selon la conseillère régionale d'Ile-de-France, elle incarne « une présidente médiatique, à audience nationale », assure-t-elle. Quant à son adversaire, Laurent Hénart, elle souligne qu'il est déjà « en charge de l'exécutif d'une grande ville » alors qu'elle est « disponible » pour le parti.
Enfin, concernant l'alignement politique du parti centriste, l'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy estime que « l'UMP est le partenaire naturel du Parti radical ».
La date limite des candidatures est fixée au 5 mai. Le vote pour la présidence se tiendra du 16 au 22 juin et du 30 juin au 6 juillet pour un éventuel second tour, par Internet. Il sera suivi d'un congrès du parti au début de juillet, puis du congrès de l'UDI pour la succession de Jean-Louis Borloo à l'automneCandidature de Rama Yade
Déclaration de candidature de Rama Yade à la présidence du Parti Radical
Cher(e)s Ami(e)s,
Alors que les candidatures à la Présidence du Parti radical sont officiellement déposées, je suis heureuse de vous transmettre personnellement ma déclaration de candidature.
Cher(e)s Ami(e)s,
Alors que les candidatures à la Présidence du Parti radical sont officiellement déposées, je suis heureuse de vous transmettre personnellement ma déclaration de candidature.
Comme promis, après le succès de la très large consultation que j’ai effectuée auprès des adhérents du Parti, j’ai également le plaisir de vous adresser mon projet pour le Parti et pour la France. Discutons-en sur mon site de campagne : www.presidence-radicale.fr
Je vous rappelle que, si vous souhaitez voter lors du scrutin qui se déroulera du 16 au 22 juin pour le 1er tour, vous avez jusqu’au 16 mai pour adhérer au Parti radical et jusqu’au scrutin pour renouveler votre adhésion !
Je serais enfin ravie que vous rejoigniez mon Comité de soutien. Plus nous serons nombreux, plus la mobilisation sera forte !
En attendant, je me tiens à votre disposition pour échanger et recueillir vos avis.
Amitiés radicales,
Rama Yade
1ère Vice-présidente du Parti Radical
Candidate à la Présidence du Parti Radical
Je vous rappelle que, si vous souhaitez voter lors du scrutin qui se déroulera du 16 au 22 juin pour le 1er tour, vous avez jusqu’au 16 mai pour adhérer au Parti radical et jusqu’au scrutin pour renouveler votre adhésion !
Je serais enfin ravie que vous rejoigniez mon Comité de soutien. Plus nous serons nombreux, plus la mobilisation sera forte !
En attendant, je me tiens à votre disposition pour échanger et recueillir vos avis.
Amitiés radicales,
Rama Yade
1ère Vice-présidente du Parti Radical
Candidate à la Présidence du Parti Radical
COMMUNIQUE DE PRESSE DE RAMA YADE,
1ère Vice-présidente du Parti radical Candidate à la Présidence du Parti radical
Avant l’élection du prochain président de l’UDI, se tiendra en juin prochain l’élection du nouveau président du Parti radical, composante essentielle de l’UDI.
1ère Vice-présidente du Parti radical Candidate à la Présidence du Parti radical
Avant l’élection du prochain président de l’UDI, se tiendra en juin prochain l’élection du nouveau président du Parti radical, composante essentielle de l’UDI.
J’ai décidé de me présenter à la Présidence du Parti radical. Ma candidature est avant tout celle des militants et des adhérents. Une candidature de terrain. Ce n’est pas une décision prise à la légère.
Deux raisons m’ont amenée à me présenter.
D’abord, le souhait de 50 fédérations (sur 100) de notre Parti de me soutenir, appuyées notamment par l’Association des Radicaux historiques et un comité de soutien de 200 personnalités présidé par François Loos, ancien président du Parti radical et Sabine Servan- Schreiber, épouse de Jean-Jacques. Mes soutiens, ce sont des historiques du Parti, bien décidés à défendre sa survie face aux menaces de dissolution ou de dilution. D’abord pour ce que le Parti incarne historiquement : le pacte républicain, la laïcité, le solidarisme, l’Europe. Ensuite, parce que son ADN politique est, à l’opposé de la pièce de musée que certains aimeraient le voir occuper, d’une modernité stupéfiante. L’élection à la présidence sera une opportunité de montrer cette modernité.
Ensuite, ma détermination à incarner le Parti radical. Je veux mieux le faire connaître aux Français grâce à davantage de visibilité. Une Présidente à audience nationale, c’est un Parti radical fort, qui renforcera parallèlement l’UDI. C’est aussi une tradition. Et c’est bien pour cette raison que Jean-Louis Borloo est devenu président après seulement 2 ans de présence au sein du Parti radical !
Depuis que Jean-Louis m’a demandé de rejoindre le Parti et que je suis devenue sa porte-parole pendant la dernière campagne présidentielle, je n’ai jamais mis mon drapeau radical dans la poche, de ma démission de mon poste d’ambassadeur de France pour accompagner Jean-Louis à ma candidature aux législatives sous la seule étiquette radicale. Pour moi, le radicalisme, c’est cela. Une conviction républicaine. Un attachement aux Droits de l’Homme. Une foi dans la justice sociale. Une confiance en l’instruction publique.
Ne gérant pas -encore- de mandat national ou une grande ville et n’ayant nulle ambition pour la présidence de l’UDI, j’ai une grande disponibilité. Cette disponibilité m’a permis de faire plusieurs fois le tour de France des fédérations, y compris lors des municipales où j’ai été soutenir de nombreux candidats radicaux. Ma présidence se fera, si je suis élue, dans cet esprit : une présidence de proximité.
Ma priorité, si je suis élue, sera de trouver les moyens de restaurer nos moyens de fonctionnement. Et, très vite, de travailler à un projet pour la France, dans la perspective de la prochaine présidentielle.
Pour la première fois de son histoire, dans un contexte où le sortant ne se représente pas, les votants pour la présidence du Parti radical seront les adhérents. La présidence du Parti devra donc se gagner au mérite, au projet et à l’équité.
A travers ma candidature, je veux enfin montrer à la France que le Parti radical est le parti du Progrès, dont les Radicaux se réclament depuis un siècle.
J’aurai l’occasion, dans les semaines qui viennent, de présenter le projet de ma présidence.
Deux raisons m’ont amenée à me présenter.
D’abord, le souhait de 50 fédérations (sur 100) de notre Parti de me soutenir, appuyées notamment par l’Association des Radicaux historiques et un comité de soutien de 200 personnalités présidé par François Loos, ancien président du Parti radical et Sabine Servan- Schreiber, épouse de Jean-Jacques. Mes soutiens, ce sont des historiques du Parti, bien décidés à défendre sa survie face aux menaces de dissolution ou de dilution. D’abord pour ce que le Parti incarne historiquement : le pacte républicain, la laïcité, le solidarisme, l’Europe. Ensuite, parce que son ADN politique est, à l’opposé de la pièce de musée que certains aimeraient le voir occuper, d’une modernité stupéfiante. L’élection à la présidence sera une opportunité de montrer cette modernité.
Ensuite, ma détermination à incarner le Parti radical. Je veux mieux le faire connaître aux Français grâce à davantage de visibilité. Une Présidente à audience nationale, c’est un Parti radical fort, qui renforcera parallèlement l’UDI. C’est aussi une tradition. Et c’est bien pour cette raison que Jean-Louis Borloo est devenu président après seulement 2 ans de présence au sein du Parti radical !
Depuis que Jean-Louis m’a demandé de rejoindre le Parti et que je suis devenue sa porte-parole pendant la dernière campagne présidentielle, je n’ai jamais mis mon drapeau radical dans la poche, de ma démission de mon poste d’ambassadeur de France pour accompagner Jean-Louis à ma candidature aux législatives sous la seule étiquette radicale. Pour moi, le radicalisme, c’est cela. Une conviction républicaine. Un attachement aux Droits de l’Homme. Une foi dans la justice sociale. Une confiance en l’instruction publique.
Ne gérant pas -encore- de mandat national ou une grande ville et n’ayant nulle ambition pour la présidence de l’UDI, j’ai une grande disponibilité. Cette disponibilité m’a permis de faire plusieurs fois le tour de France des fédérations, y compris lors des municipales où j’ai été soutenir de nombreux candidats radicaux. Ma présidence se fera, si je suis élue, dans cet esprit : une présidence de proximité.
Ma priorité, si je suis élue, sera de trouver les moyens de restaurer nos moyens de fonctionnement. Et, très vite, de travailler à un projet pour la France, dans la perspective de la prochaine présidentielle.
Pour la première fois de son histoire, dans un contexte où le sortant ne se représente pas, les votants pour la présidence du Parti radical seront les adhérents. La présidence du Parti devra donc se gagner au mérite, au projet et à l’équité.
A travers ma candidature, je veux enfin montrer à la France que le Parti radical est le parti du Progrès, dont les Radicaux se réclament depuis un siècle.
J’aurai l’occasion, dans les semaines qui viennent, de présenter le projet de ma présidence.
Candidature de Laurent Hénart
Chers amis radicaux,
Au moment où j’écris, j’ai évidemment une pensée affectueuse pour Jean-Louis Borloo auquel je veux exprimer notre plus profonde gratitude. Durant ces années, j’ai eu le privilège, en qualité de Secrétaire général, de l’accompagner fidèlement et de servir notre famille à toutes les étapes de son histoire récente.
Comme beaucoup de radicaux me l’ont demandé, et parce que c’est le sens de mon engagement, j’ai décidé de présenter ma candidature à la présidence de notre parti. Militant radical depuis l’âge de 20 ans, je n’ai eu de cesse de défendre nos valeurs dans le cadre des fonctions que j’ai exercées, qu’il s’agisse de député de la Meurthe-et-Moselle durant dix ans, de secrétaire d’Etat auprès de Jean-Louis Borloo pour la mise en œuvre du plan de cohésion sociale et comme maire de Nancy.
Dans un débat public dominé par l’immédiateté, les fidélités successives et les « commentaires de commentaires », le Parti Radical doit continuer à être ce lieu de réflexion, capable de faire naître le consensus. Plus qu’une famille politique, le Parti Radical est une philosophie dont l’influence intellectuelle s’exerce au-delà des clivages. Durant vingt ans, j’ai pu mesurer, au Parlement comme sur le terrain, combien cette tradition était notre force dans un paysage politique marqué par l’inconstance voire l’inconsistance.
Cette attitude profondément républicaine nous a conduit à adopter, dès 2012, un positionnement original : « l’opposition constructive ». Face à une gauche sans cap et sans repère, les Français attendent plus que des invectives qui alimentent le populisme et découragent les électeurs. Nous, radicaux, avons su rester fermes sur les principes, sans jamais refuser le dialogue lorsque l’intérêt de la France était en jeu.
C’est ce Parti Radical que j’aime, que je veux défendre, et que je veux faire entendre dans le paysage politique. Maire de Nancy, plus grande mairie radicale de France, je me suis engagé auprès de mes électeurs à ne briguer aucun autre mandat pour être disponible et conserver ma liberté de parole. Aujourd’hui, devant vous, je m’engage également à n’exercer aucune autre fonction politique : je serai un président totalement et exclusivement radical. Si je suis élu, je démissionnerai de mon poste de secrétaire général de l’U.D.I et n’exercerai aucune fonction exécutive dans cette formation.
Maire libre et comblé, je n’ai rien à négocier, ni à demander. Cette indépendance, je souhaite la mettre au service des radicaux et de leurs revendications, notamment dans le cadre de nos relations avec l’U.D.I. Mon premier acte sera de demander une réforme de ses statuts pour clarifier, à la suite du retrait de Jean-Louis Borloo, ses relations avec le Parti Radical, dans les domaines des investitures, de la composition de ses instances et de la répartition du financement public.
Parce que je m’inscris dans une démarche profondément collective, je souhaite être un président « chef d’équipe », facilitateur et animateur, permettant à chacune et à chacun d’entre vous de s’épanouir, d’accéder aux responsabilités et de faire entendre sa voix. Durant les prochaines semaines, je constituerai une équipe féminisée, disponible, mariant jeunesse et expérience, à l’image du Parti Radical d’aujourd’hui.
Vous renouvelant mes plus sincères remerciements pour vos messages d’amitié et de soutien ainsi que pour votre fidélité, j’espère vous retrouver nombreux pour écrire, ensemble, une nouvelle page de l’histoire du Parti Radical.
Laurent Hénart Maire de Nancy Ancien Ministre Candidat à la Présidence du Parti Radical partiradical@henart2014.fr
COMITE DE
SOUTIEN A LAURENT HENART
POUR LA
PRESIDENCE DU PARTI RADICAL
Aujourd’hui, 63 Présidents de Fédérations, les
Parlementaires Radicaux et Maires des grandes communes, de nombreux cadres et
militants soutiennent Laurent Hénart à la Présidence du Parti radical !
Rejoignez-nous !
Pour soutenir la candidature de L Hénart,
écrivez à : partiradical@henart2014.fr
Pour
tous renseignements : Bénédicte : 06 89 81 85 62
« Conformément
à la déclaration adoptée à l’unanimité par le comité exécutif du 1er
octobre 2013 sous la Présidence de Jean-Louis Borloo : Le Parti Radical
est fondateur de l’UDI dont l’utilité politique est évidente et dont il partage
pleinement les engagements pour l’édification d’une démocratie de
responsabilité et de justice sociale.
Le
Parti Radical entend demeurer un parti de plein exercice qui défend, définit et
promeut ses valeurs, et qui dispose des moyens politiques, administratifs, et
financiers pour jouer pleinement son rôle au sein de l’UDI aujourd’hui comme
demain.
Il
se donnera sans délai les moyens d’y parvenir en élisant avant l’été un
Président qui relèvera ce défi.
Qui
depuis vingt-cinq ans parmi nous a exercé les fonctions de Parlementaire, de
membre du gouvernement et maintenant de Maire,
Qui
a été à l’école des responsabilités au sein de notre famille politique et en a
retenu les enseignements pour devenir le Secrétaire Général voulu par
Jean-Louis Borloo,
Qui
s’identifie à une génération de renouvellement du personnel politique de notre
pays,
Julien AGUIN, membre du Bureau national des Jeunes
Radicaux, conseiller municipal de Voisenon, Seine et Marne, Serge AMAR, Président de la Fédération
des Alpes-Maritimes, adjoint au Maire à Antibes, Arcange ANGELETTI, Trésorier de la Fédération des Alpes-Maritimes, Jean-Paul ALDUY, Président régional du
Languedoc-Roussillon, Secrétaire général adjoint, ancien Sénateur-maire de
Perpignan, Louis ALUCHON, adjoint au
maire à Tours, Secrétaire général Fédération d’Indre-et-Loire, Jean-Luc ARCADE, Président de la
Fédération de Haute-Savoie, Conseiller municipal Le Petit-Bornand-Les Glières, Paul AURELLI, Délégué national du Parti,
Corse, Jérôme BALOGE, Président de
la Fédération des Deux-Sèvres, Maire de Niort, Didier BARIANI, Président d’honneur du Parti radical, ancien
Ministre, Christian BATAILLY,
Secrétaire général de la Fédération de l’Ain, Maire St-Jean Le Vieux, 3ème
VP communauté de commune, Nathalie BEAUFILS, Présidente de
la Fédération des Pyrénées-Orientales, adjointe au maire de Perpignan, Grégory BERKOVICZ, Président de la
Fédération du Calvados, Vice-président du Parti, Conseiller municipal de Caen, Nathalie BERTIN, Présidente de la
Fédération du Doubs, adjointe au maire à Ornans, Pascal BLANC, Maire de Bourges, Jonathan BLUM-BEDOSSA, Jeunes Radicaux Paris, Jean-Marie BOCKEL, Sénateur du Haut-Rhin, Président de Mulhouse
Alsace Agglomération, ancien Ministre, Jean-Jacques
BOLZAN, Président de la fédération régionale Midi-Pyrénées, adjoint au
Maire à Toulouse, Franck BONNET,
Conseiller municipal de Sorel-Moussel, Eure-et-Loir, Christophe BOUCHET, Président de la Fédération d’Indre-et-Loire,
adjoint au Maire à Tours, Bernard BOULZE, Président de la Fédération du
Tarn, Conseiller régional de Midi-Pyrénées,
Jean-Louis BOVI, Fédération de la Meurthe et Moselle, Jacques BRES, Président de la Fédération des Alpes de
Haute-Provence, adjoint au Maire à Manosque, Christophe BRUNET, Fédération de Meurthe-et-Moselle, Denis BRUNET, Président de la
Fédération de la Vienne, Conseiller général, Jean-Luc CADEDDU, Président de la Fédération du Val de Marne,
adjoint au maire à Maisons-Alfort, Nicolas
CALLUAUD, Président de la Fédération de la Manche, Samuel CAZENAVE, Président de la Fédération de la Charente, adjoint
au maire d’Angoulême, Josy CHAMBON,
Présidente de la Fédération du Var, Jean-Luc
CHAPON, Maire d’Uzès, Nathalie
CHASSAIGNE, Meurthe-et-Moselle, Alain
CHATILLON, Sénateur de Haute-Garonne, Maire de Revel, Thibault CHENEVIERE, Président de la Fédération des
Pyrénées-Atlantiques, adjoint au Maire à Pau, James CHERON, Président de la Fédération de Seine-et-Marne, adjoint
au Maire à Montereau, Benjamin CHKROUN,
Président national des « Générations Actives», Bouches du Rhône, Daniel CHRETIEN, Trésorier de la
Fédération de Gironde, Michelle CLEMENT,
Fédération du Puy de Dôme, Rémi
COCUELLE, Secrétaire général de la Fédération de Gironde, Conseiller
municipal de Mérignac, Jean-Marie COEURDACIER,
trésorier de la Fédération Haute-Saône, Thierry
CORNILLET, Président régional de Rhône-Alpes, ancien Président du Parti, Gilles CRASPAY, Président de la
Fédération de Hautes-Pyrénées, adjoint au Maire à Tarbes, Frédéric CUIGNET ROYER, Fédération de Meurthe-et-Moselle, Gilbert DANAN, Conseiller municipal
Pau, secrétaire général Pyrénées-Atlantiques, Richard DE LEMENY-MAKEDONE, Co-président de Mémoire et modernité
radicales, membre du BN, Aymeri
DE MONTESQUIOU, Président de la Fédération du Gers, Vice-président du
Parti, Sénateur-Maire, conseiller général, Christian
DEBEVE, Secrétaire général de la Gauche Moderne, Isabelle DECHAUME, 1ère adjointe à Chalon, VP
agglomération du Grand Chalon, Saône et Loire, Laurent DEGALLAIX, maire de Valenciennes, conseiller régional, Nathalie DELATTRE, Présidente de la
Fédération de la Gironde, Vice-présidente du Parti, adjointe au maire de
Bordeaux, Christian DELEUZE,
Président régional de Basse-Normandie,
Serge DELRIEU, Conseiller municipal délégué Pavillons-sous-bois,
Seine-Saint-Denis, Sylvain DENOYELLE,
Président de la fédération de la Meuse, Conseiller général, Emmanuel DEZELLUS, Secrétaire général
de la Fédération de l’Yonne, Sophie DION, Fédération de Paris
8ème, Daniel DIMICOLI, Président de
la fédération de Maine et Loire, vice-président de la communauté
d’agglomération d’Angers Loire Métropole, Florence
DINOUARD-DUPARC, Fédération du Puy de Dôme, Gilles-Henry DOUCET, Président de la Fédération du Cher, Maire de Vailly
sur Sauldre, Yves DOUSSET,
Fédération du Puy de Dôme, Clodette
DUBOIS, Présidente de la Fédération du Vaucluse par interim, Philippe DUPARC, Fédération du Puy de
Dôme, Yassir EL AROUBI, Secrétaire
général départemental, responsable Jeunes Radicaux Moselle, Mohamed EL YOUSFI, Président de la Fédération
de Haute-Corse, Rémi FAUQUEMBERGUE,
Secrétaire général de la Fédération du Pas-de-Calais, Jean-Michel FAURE, Président de la Fédération de la Dordogne, Président
régional d’Aquitaine, vice-président de la communauté de communes du Périgord
Vert, Dc Karim FERHI, Secrétaire
général Fédération du Val de Marne, Annabelle
FERRY, Secrétaire régionale de Lorraine, Bernard FIALAIRE, Président de la Fédération du Rhône, Vice-président
du Parti, Conseiller général, Maire de Belleville, Claire FRANCFORT, Présidente d’honneur de la Fédération de Moselle, Arlette
FRUCTUS, Présidente de la Fédération des Bouches du Rhône et de PACA, Secrétaire
générale adjointe, conseillère régionale, adjointe au maire de Marseille, Jean-Marc GABOUTY, Président de la
Fédération de la Haute-Vienne, conseiller général, Maire de Couzeix, Bernard GAHNASSIA, Président de la
Fédération des Hauts-de-Seine, adjoint au maire à Puteaux, Jean-Paul GAZAGNE, Fédération du Puy-de-Dôme, Mireille GAZIN, Présidente de la Fédération de Meurthe-et-Moselle,
Conseillère régionale, François GILABERT,
Président de la Fédération de l’Isère, adjoint au maire à Seyssins, Jean GIRARDON, Président de la
Fédération de Saône-et-Loire, Maire, Conseiller général, Christophe GORET, Président de la Fédération de la Haute-Saône, Conseiller
municipal à Lure, Basile GORIN,
Président de la Fédération de l’Oise, Sylvie
GOY-CHAVENT, Sénatrice de l’Ain, Maire de Cerdon, Nicole GRISLAIN, trésorière de la Fédération des Yvelines, Lydia GUIROUS, Fédération de Paris, Christine HOUBLON, Présidente de la
Fédération de Guadeloupe, Pierre JARLIER,
Président de la Fédération du Cantal, Sénateur-Maire de Saint-Flour, Sophie JOISSAINS, Sénatrice des
Bouches-du-Rhône, Matey KARASSIMEONOV,
Secrétaire national, Paris, Jacky
KREMER, Président de la Fédération
du Gard, Claude LABALUE-BAYLET,
ancien Secrétaire général du PR, Fédération de la Vienne, Michel LADROUE, Secrétaire général de la Fédération de la Manche,
Jacques LAFOURCADE, Fédération de
Seine-Saint-Denis, Martine LAMBOLEY-SAINTIGNY, VP Fédération de Haute-Saône, Laurent LANFRAY, Président de la
Fédération de la Drôme, Thierry LAURENT,
Fédération de la Vendée, Jacques LE STER,
Fédération de la Gironde, Daniel LECA,
Président de Nouvelle Génération-Jeunes Radicaux, Luc LEHNER, Président de la Fédération du Bas-Rhin, conseiller
municipal à Haguenau, Laurent LEMONNIER,
Président régional de Haute-Normandie, Olivier
LEPINTEUR, Président de la Fédération de l’Eure, adjoint au maire d’Evreux,
Franck de MAGALHAES, Président de la
Fédération du Puy de Dôme et Président régional d’Auvergne, Grégoire MALLEIN, Président régional du
Centre, Sébastien MANSCOURT,
Président de la Fédération de l’Aisne, Maire de Hartennes et Taux, Véronique MARCHET, Présidente de la
Fédération de la Marne, Conseillère régionale, 1ère adjointe au
Maire à Reims, Pascal MARTIN,
Président de la Fédération de Seine-Maritime, Conseiller général, Maire de
Montville, Philippe MASSON,
Président de la Fédération d’Eure-et-Loir, Maire de Brou, Brigitte MAUROY, conseillère régionale du Nord-Pas-de-Calais, Frédérique
MEUNIER, Présidente de la Fédération de la Corrèze, Maire de Malemort, Serge-Pierre MONDANI, Maire de
St-Beauzire, Haute-Loire, Frédéric MORANTE, Fédération de la
Haute-Garonne, Philippe MOREL,
membre du Comex, Pyrénées-Atlantiques, Christian
NAMY, Sénateur et Président du Conseil général de la Meuse, Christian NAVARRE, Fédération de la
Haute-Garonne, Bertrand PANCHER,
Député-maire de Bar-le-Duc, Manfred
PERCHERON, Président régional de Poitou-Charentes, Sébastien PEREIRA, Vice-président, trésorier, responsable des
Jeunes de l’Yonne, Pierre PUGLIESI,
adjoint au Maire à Ajaccio, Corse du Sud,
Yves PULCET, Fédération du Puy de Dôme,
Jean-Pierre RESPAUT, adjoint maire de Suresnes, conseiller communautaire,
Hauts-de-Seine, Franck REYNIER, Député-Maire de Montélimar, Arnaud RICHARD, Président de la
Fédération des Yvelines, Député, Dominique
RIQUET, Président de la Fédération du Nord, Député européen, Gérard RIU, Fédération du Tarn, Jean-Luc RIVIERE, Conseiller régional
Midi-Pyrénées, conseiller municipal Cazères, Haute-Garonne, André ROSSINOT,
Président régional de Lorraine, Président d’honneur du Parti, ancien Ministre, Gilles RULLEAU, Président de la
Fédération de Vendée, Grégory S VALERY,
adjoint au Maire à Voreppe, Secrétaire général de la Fédération de l’Isère, Jacques
SABOURIN, Président de la Commission des affaires économiques, conseiller
municipal de Les Ornes, Vienne, Yves
SEJOURNE, Président de la communauté de communes Pays de Mirecourt, Maire
de Mirecourt, secrétaire général Fédération des Vosges, Véronique SIMON,
Fédération de l’Yonne, Bernard STAUB,
Secrétaire de la Fédération régionale Pays de la Loire, secrétaire général
Fédération de Maine-et-Loire, Charles
STRABONI, Président régional de Corse, Patrick
STRIBY, Secrétaire général du Parti Radical du Haut-Rhin, Conseiller
Municipal de la ville de Huningue, Conseiller communautaire, Michèle STRIFFLER, Députée européenne,
David SUCK, Président de la
Fédération de Moselle, Conseiller général, Jean
TOMA, Président de la Fédération de Corse du Sud, Maire de Solenzara, David VALENCE, Président de la
Fédération des Vosges, Maire de St-Dié des Vosges, Jean-Noël VERFAILLIE, Secrétaire général de la Fédération du Nord, Jean-Louis
VIADIEU, Fédération de la Haute-Garonne,
Pascal VILAIN, Président de la
Fédération du Loiret, Florence VITASSE,
Présidente de la Fédération de l’Aude, Claude VIVIER LE GOT, Présidente de
la Fédération de l’Yonne, André
WOJCIECHOWSKI, Maire de Saint-Avold, Michel
ZUMKELLER, Président de la Fédération du Territoire de Belfort, Député-maire
de Valdoie
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire