jeudi 21 juillet 2011

Actualités du mois de juillet 2011

Samedi 23 juillet 2011

Norvège : Jean-Louis Borloo fait part "de sa plus grande émotion", condamnant des actes "d'une barbarie inqualifiable"

Jean-Louis Borloo, Président du Parti Radical, fait part de sa plus grande émotion à la suite des événements tragiques survenus en Norvège et condamne avec la plus grande fermeté ces actes d'une barbarie inqualifiable. Face à cette épreuve d'une violence ...inouïe, il  apporte tout son soutien au peuple norvégien.    "Les vrais coupables sont l'intolérance et le fondamentalisme qui fragilisent nos démocraties dans ce contexte particulièrement difficile de crise économique. Même si cet acte aujourd'hui est isolé, j'en appelle à la vigilance de l'ensemble des Etats et des peuples qui doivent plus que jamais lutter contre le repli identitaire et ses dérives" ajoute-t-il.


Lundi 18 juillet 2011
Nous souhaitons vivement comme Jean-Louis Borloo une réunion rapide du Congrès du Parlement à Versailles : un lundi (jour de fermeture du château au public)  le 1er ou le 8 août 2011 en fonction de l'évolution de la situation aux Etats-Unis afin que le gouvernement et les parlementaires prennent leurs responsabilités devant l'histoire et le peuple français sur ce problème de la dette en France et dans les pays européens qui va peser sur les générations futurs, que le Président de la République et le Premier Ministre s'expriment et que les groupes politiques votent sur le projet de loi constitutionnelle sur la règle d'or budgétaire. Nous réaffirmons par ailleurs notre volonté de conserver l'euro comme monnaie commune et qui est un symbole de solidarité même si une politique monnétaire commune sous le contrôle du politique et non de la BCE serait le bienvenu comme une dévaluation de l'euro aussi pour renforcer notre compétitivité à l'internationale.

Réaction du député Philippe Vigier, député d'Eure et Loir de l'ARES, secrétaire général du Nouveau Centre le 22 juillet 2011 : Philippe Vigier se félicite de la solidarité affichée par les membres de la zone euro pour circoncire l'incendie grec mais appellent les responsables européens à saisir la chance de mettre enfin en place un véritable gouvernement économique européen.
Sous l'impulsion décisive du Président de la République, les Etats-membres de la zone euro se sont accordés hier sur un deuxième plan de sauvetage de la Grèce et ont ainsi adressé un message sans ambiguïté aux marchés sur leur volonté commune d'enrayer la crise de l'euro. 
Pour autant, face à une crise qui fait peser une lourde menace sur la souveraineté budgétaire des Etats-membres de la zone euro, la succession de plans de sauvetages décidés en urgence ne peut constituer la seule réponse. 
L’Europe est aujourd’hui à la croisée des chemins : dans le cadre d’une Europe fédérale, il est plus que jamais indispensable de créer une Europe fédérale et non pas une confédération d’Etats-nations, afin d’harmoniser et de fédérer les politiques fiscales et budgétaires, mais aussi économiques et sociales, des pays de la zone euro. 
Parce que le désordre favorise les attaques contre l'euro, le groupe Nouveau Centre appelle les responsables européens à faire cesser une fois pour toutes leurs divergences et à montrer que la zone euro est solidaire et que l’euro est une monnaie pérenne et crédible. 
Dans ce bras de fer entre les Etats et les marchés, seule une gouvernance européenne forte, unie et solidaire pourra l’emporter et ainsi protéger ses citoyens, qui seraient les premiers frappés par des faillites en cascade, mais aussi permettre de créer les conditions monétaires et économiques nécessaires aux emplois et à la croissance de demain. 
Dans cette perspective, les centristes proposent estiment que l'urgence est déclarée et proposent : 
 - Un engagement commun de tous les pays membres de la zone euro sur la suppression des déficits de fonctionnement, de façon à ce que des exigences communes soient applicables aux cadres budgétaires des Etats membres de l'Union européenne ;
 - La mise en place d'un fonds de stabilité afin de garantir la dette européenne ;
 - La création d'entreprises européennes de notation, dotées d’un statut garantissant leur indépendance, afin de protéger les épargnants et d’éviter les dérives auxquelles nous avons assisté ;
 - Une taxation européenne du secteur bancaire, afin de limiter à l'avenir les comportements à risque du secteur financier qui ont conduit à la crise que nous traversons. 

Réaction de Nicolas Sarkozy, Président de la République le 25 juillet 2011:
http://www.lefigaro.fr/politique/2011/07/25/01002-20110725ARTFIG00454-sarkozy-lance-la-bataille-de-la-regle-d-or.php

Dans une lettre aux parlementaires, le chef de l'État les appelle, entre les lignes, à se prononcer pour la maîtrise des déficits.
Nicolas Sarkozy veut pousser son avantage. Au lendemain du sommet de Bruxelles, qui a vu l'adoption in extremis d'un nouveau plan de sauvetage de la Grèce, le chef de l'État a décidé d'écrire à l'ensemble des parlementaires pour faire de la «pédagogie» sur son action et aborder les perspectives d'avenir de la zone euro. Sarkozy a décidé d'user de ce procédé inédit sous la Ve République , le week-end dernier à Brégançon (Var). Avant d'en informer lundi les deux présidents des assemblées, Gérard Larcher (Sénat) et Bernard Accoyer (Assemblée nationale), qu'il recevait à déjeuner à l'Élysée. Dans cette lettre, que les députés et sénateurs recevront aujourd'hui et que Le Figaro s'est procurée, Sarkozy vante le «plan global et ambitieux de soutien à la Grèce» et en appelle au renforcement de la «gouvernance de la zone euro». Le chef de l'État, qui se réfère à l'esprit bâtisseur des fondateurs de l'Europe, rappelle qu'il fera avec la chancelière allemande Angela Merkel des propositions en ce sens «afin la fin de l'été». «Je suis convaincu que seule une volonté commune et inébranlable peut permettre à l'Europe de sortir grandie et renforcée d'une crise qui aurait pu emporter avec elle le rêve de ceux qui (…) ont voulu nous laisser la paix et la prospérité en héritage», écrit encore le président.
Dans ce contexte de crise, la France se doit d'être «exemplaire dans sa remise en ordre de ses comptes publics», poursuit Sarkozy, qui en profite pour vanter ses réformes: «(la France) a commencé à l'être en engageant l'assainissement de ses finances publiques et en œuvrant pour le renforcement de sa compétitivité, elle doit continuer». Rappelant que les décisions qui viennent d'être prises à Bruxelles par les dirigeants des dix-sept pays de la zone euro l'ont été «en privilégiant l'intérêt général, au détriment de sensibilités politiques parfois différentes», le président conclut en appelant les parlementaires à la responsabilité: «En France, dans les mois qui viennent, nous avons besoin de nous rassembler sur ces questions essentielles, au-delà des intérêts partisans. La représentation nationale que nous incarnons jouera, j'en suis sûr, un rôle majeur pour assurer le sens de notre responsabilité commune face à l'Histoire.»
Une allusion à peine voilée à la fameuse «règle d'or», qui prévoit d'inscrire dans la Constitution l'obligation d'un retour à l'équilibre budgétaire. Le dispositif, qui a été voté le 13 juillet par le Parlement, ne sera effectif qu'après avoir été adopté par les deux Assemblées réunies en Congrès à Versailles. Nicolas Sarkozy sait bien qu'il sera très difficile -voire impossible- de réunir l'indispensable majorité des trois cinquièmes. Selon les calculs élyséens, il manque pour cela 27 voix. Bernard Accoyer, en quittant l'Élysée, a indiqué que la décision de convoquer ou non le Congrès ne serait pas prise avant la rentrée.
En adressant cette missive aux parlementaires, le chef de l'État -auréolé du succès du plan de sauvetage de la Grèce- veut apparaître comme au-dessus de la mêlée et soucieux de l'intérêt général. Mais son objectif est bien de mettre l'opposition «face à ses contradictions», dixit un conseiller. «Les Français feront la différence entre un parti de gouvernement et un parti qui ne l'est pas», indique un proche du chef de l'État. Même si Sarkozy ne parle pas directement de la règle d'or dans sa lettre (elle figurait dans une version intermédiaire), celle-ci est «dans le paysage, en arrière-plan», reconnaît-on volontiers à l'Élysée. «Il y aura le camp de la cohérence -le président sauve la zone euro, puis demande des efforts à la France- et le camp de l'incohérence» , souligne un conseiller élyséen. Voilà la représentation nationale prévenue.

Réaction de Jean-Louis Borloo, Président du Parti Radical le 26 juillet 2011 :
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/07/26/97001-20110726FILWWW00323-lettre-borloo-souhaite-aller-plus-loin.php

Le président du Parti radical Jean-Louis Borloo a approuvé la décision du président Sarkozy d'écrire aux parlementaires sur les finances publiques tout en jugeant qu'on pourrait "aller plus loin et les réunir". L'ancien ministre a demandé le 18 juillet une réunion du Congrès sur la crise des dettes en Europe.
Sur la règle d'or, qui vise à inscrire dans la Constitution un retour progressif à l'équilibre budgétaire, M. Borloo a affirmé qu'il "faut que chacun des pays européens, zone euro ou pas zone euro, s'engage vers une maîtrise de ses dépenses publiques". Chaque pays devrait le faire "à son rythme" mais il faut que "l'inversion de tendance soit vraie pour chacun des pays", a-t-il souhaité.
Pour lui, "c'est comme ça qu'on fait la solidarité" et "pas seulement en faisant un pot commun de financement", alors que les dirigeants européens ont décidé la semaine dernière à Bruxelles de se doter d'un début de Fonds monétaire européen pour circonscrire les crises de la dette à venir.

Dimanche 17 juillet 2011

Université de l'Alliance
10 et 11 septembre 2011





Pour cette 1ère Université d’été de la nouvelle Alliance républicaine, écologiste et sociale, nous avons le plaisir de vous accueillir à la Grande Motte, les 10 et 11 septembre prochains.
Occasion de se retrouver autour de Jean-Louis Borloo, de l’équipe du Parti Radical et de l’Alliance pour échanger, débattre et préparer notre projet pour 2012, Pour une France juste.

Vous trouverez ci-dessous le bulletin d’inscription et toutes les informations pratiques.
N’hésitez pas à nous joindre au 01 42 61 02 02 / radical@partiradical.net

PRE-PROGRAMME des Samedi 10 et Dimanche 11 septembre 2011

Samedi matin : Accueil et installation des participants
Réunion des instances des Jeunes de l’Alliance
13h : Déjeuner
14h – 18h : Ateliers et débats
18h30 – 19h30 : Activités sportives
20h30 : Barbecue et soirée

Dimanche matin :
9h30- 12h30 : Matinée politique
12h30 : Déjeuner

"Chère amie, cher ami,
Après le lancement officiel de l'Alliance républicaine, écologiste et sociale le 26 juin dernier à Epinay, qui a réuni plus de 3 000 personnes, j'ai le plaisir de vous convier à la 1ère Université de l'Alliance, les 10 et 11 septembre prochains, à la Grande Motte.
Cette Université d'été marquera une nouvelle étape pour notre Parti : nous entrerons dans la phase active de la préparation des présidentielles et des législatives de 2012. Notre Parti va devoir passer à la vitesse supérieure, démultiplier son activité sur l'ensemble des territoires et mettre en mouvement toutes ses ressources internes, intellectuelles, militantes et symathisantes.
Avec l'équipe nationale, nous allons avoir besoin de chacune et de chacun d'entre vous pour participer à ce grand temps fort de la vie démocratique française.
Dans cette perspective, l'Université d'été de la Grande Motte, que nous avons souhaité organiser cette année dans le cadre de l'Alliance, sera un grand moment d'échanges, de débats, d'ouverture et de rassemblement de toutes celles et de tous ceux qui se retrouvent dans cette nouvelle force politique de transformation sociale et de progrès, pour bâtir une France juste.
Aussi, je compte vivement sur votre engagement et votre présence les 10 et 11 septembre pour contribuer, ensemble à la réussite de notre rentrée politique.
Vous trouverez en pièce jointe, le bulletin d'inscription à l'Université d'été et en cliquant ici toutes les informations pratiques ainsi que le pré-programme.
Dans l'attente de vous retrouver, je vous souhaite un bel été.
Amitiés radicales."
Jean-Louis Borloo
Président du Parti Radical
Pour vous inscrire, cliquez ici : http://partiradical.net/images/stories/grandemotte/inscription1.pdf
Retrouvez aussi les informations pratiquess et la liste des hôtels en cliquant ici :
- http://partiradical.net/images/stories/grandemotte/infospratiques.pdf
- http://partiradical.net/images/stories/grandemotte/hotels.pdf

Samedi 16 juillet 2011

Proposition de projet présidentiel et législatif pour 2012 inspiré du Manifeste Radical proposé par Nouvelle Génération Jeunes Radicaux et des idées d'un jeune militant du Parti Radical d’Eure et Loir .

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